Il m’a sauvé,
De mon péché,
La mort me cernait,
Ses bras m’encerclaient
Il m’a sauvé du précipice d’où je me tenais
Oh, il a étendu sa main
Il m’a sauvé des artifices de ce monde qui ne servent à rien,
Juste à t’emmener plus bas et plus loin.
Il m’a arraché de cette vie nulle et sans but après laquelle
Je courrais alors qu’il n’y avait rien
Oui il m’a sauvé et il m’a aidé à relever la tête,
Me débarrasser des chaînes et des liens
Il m’a éloigné des faux discours, vidé des longs mensonges,
Il m’a brisé et châtié pour mon bien
Il m’a humilié dans mon orgueil, il a confronté mes œuvres,
Il a dépouillé le vieil homme de ses biens
Des jours s’écoulaient, des mois des années, à chercher son amour,
À faire des détours, or il était près
Il me connaissait, il veille sur ma vie, prend soin de moi jours et nuits
C’est sa promesse et elle est vraie.
Il m’a sauvé,
De mon péché
Ses bras m’ont porté,
Ses anges m’ont caché
Il m’a sauvé (ad lib)