{title:Où trouver une retraite ?} {comment:Sur les ailes de la foi (230)} {comment:Célébrons Dieu (159)} {comment:Fr. Ambresin} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Où trouver une retraite, Où trouver un sûr abri, Quand, du sein de la tempête, Dieu me parle au Sinaï ? Vois la mort que j'ai soufferte Pour devenir ton Sauveur ! Entre par la plaie ouverte Et cache toi dans Mon cœur ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Quelle cité de refuge S'offre pour l'homme perdu, Quand fuyant devant son Juge, Il tremble et pleure, éperdu ? Vers moi, sans repos ni trêve, Accours, c'est ton seul espoir ! Mon cœur, qu'a percé le glaive, S'ouvre pour te recevoir. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Quand il faudra rendre compte, Ô Dieu ! qui t'affrontera ? Où cacherais-je ma honte, Quand ton œil me sondera ? Si tu veux fuir ma colère, Cache-toi dans Mon amour ! Approche-toi du Calvaire, Et ne crains plus le grand Jour. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Mais mes fautes, plus nombreuses Que le sable au bord des mers, Rendent mes nuits trop affreuses Et mes regrets trop amers ! Pauvre âme, sois rassurée ! Mon Sang, à flots épanché, Couvre, comme une marée, Le sable de ton péché. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} À son banquet misérable Le monde m'appelle en vain. Oh ! fais-moi place à ta table, Et donnes-moi de ton pain ! Prends ! Je suis le pain de vie. Prends ta place à ce festin Où Dieu même te convie, Et qui n'aura point de fin. {end_of_verse}