{title:De Jésus la souvenance} {comment:Sur les ailes de la foi (539)} {comment:Théodore Monod} {comment:A. Oeschner} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} De Jésus la souvenance Donne à l'âme un vrai bonheur Douce en est la jouissance, Mais sa divine présence Du miel passe la douceur, Du miel passe la douceur. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Non, rien de plus agréable Ne se chante en aucun lieu, Point de parler plus aimable, De penser plus délectable Que Jésus, le Fils de Dieu, Que Jésus, le Fils de Dieu. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Jésus, même le rebelle, Dès qu'il t'implore est sauvé ; Mais, si ta grâce est fidèle Pour qui te cherche, qu'est-elle Pour celui qui t'a trouvé ! Pour celui qui t'a trouvé ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} La langue ne peut le dire, Ni la plume l'exprimer ; Qui vers Jésus se retire N'a point de mot pour décrire Ce que c'est que de l'aimer, Ce que c'est que de l'aimer. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Sois, ô Jésus ! notre joie, Toi qui seras notre ciel, Et qu'au terme de la voie Ta gloire en nous se déploie Dans ton royaume éternel, Dans ton royaume éternel. {end_of_verse}