{title:Ils ne sont plus} {comment:Sur les ailes de la foi (514)} {comment:Edouard Monod} {comment:Élisée Bost} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Ils ne sont plus, ô Dieu, ces sombres jours d'orage, Où portant ses soupirs de rivage en rivage, Ta plaintive Sion t'invoquait au désert ; N'ayant pour pavillon que la voûte azurée, Pour musique sacrée Que le bruit des torrents et le souffle des airs, Que le bruit des torrents et le souffle des airs, Que le bruit des torrents et le souffle des airs. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} La voix de la prière et le chant des cantiques Font retentir enfin de paisibles portiques : Gloire soit à jamais à notre Rédempteur ! Dans sa miséricorde Il a séché nos larmes ; À de longues alarmes, Il a fait succéder le calme et le bonheur. Il a fait succéder le calme et le bonheur. Il a fait succéder le calme et le bonheur. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Bénis, ô notre Dieu, ce nouveau sanctuaire Qui désormais nous offre un abri tutélaire ! Que notre culte y soit esprit et vérité, Et que nous y trouvions la source désirée Où notre âme altérée Viendra puiser la vie et l'immortalité. Viendra puiser la vie et l'immortalité. Viendra puiser la vie et l'immortalité . {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Fais-toi connaître à nous dans cette maison sainte ; Que nos enfants, Seigneur, élevés dans ta crainte, Te servent avec nous, peuple libre et joyeux ! Pour célébrer ton nom, allume dans notre âme Cette foi, cette flamme, Qui, dans les jours d'épreuve, animait nos aïeux. Qui, dans les jours d'épreuve, animait nos aïeux. Qui, dans les jours d'épreuve, animait nos aïeux. {end_of_verse}