{title:La nuit couvre de ses voiles} {comment:Sur les ailes de la foi (497)} {comment:Ruben Saillens} {comment:John Farmer} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} La nuit couvre de ses voiles Hameaux, campagnes, vergers ; Sous le regard des étoiles Veillent en paix les bergers, Lorsque, sur la plaine immense, Une clarté resplendit, Et dans l'imposant silence Une voix leur dit : {end_of_verse} {comment: Refrain} {start_of_chorus} C'est le doux chant de Noël, Le cantique éternel : « Paix, amour sur la terre, Et gloire au Dieu du ciel ! » {end_of_chorus} {comment: Couplet} {start_of_verse} « Joignez-vous à nos louanges, Bergers, le Christ vous est né ! » Aussitôt mille voix d'anges Remplissent l'air étonné. Jamais plus douce musique Ne réjouit ces bas lieux, Non, jamais plus beau cantique N'a charmé les cieux ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Les bergers, sans peur ni doute, Laissent leurs troupeaux aux champs, Et les échos de la route Retentissent de leurs chants : « Le Christ, le Sauveur du monde Dans une crèche est venu ; Il naît, charité profonde ! Petit, faible et nu ! » {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Sur les genoux de Marie, Voici l'Enfant, doux trésor ! Dans la pauvre hôtellerie Les bergers chantent encor : « C'est pour nous, divin mystère ! Pour nous, qu'il naît en ce jour ! » Et depuis lors, de la terre Monte un chant d'amour : {end_of_verse}