{title:J'ai découvert dans la vallée} {comment:Ruben Saillens} {comment:Sur les ailes de la foi (495)} {comment:D. H. Engel} {comment:Johann Wolfgang Franck} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} J'ai découvert dans la vallée Où je marchais le front penché, Une humble fleur dissimulée Dans le feuillage desséché. Céleste Fleur que Dieu fit naître Pour consoler l'humanité, Fils de Marie, humble et doux Maître, Revêts-nous de ta pureté ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} À genoux parmi les épines, Je cueillis la suave fleur, Car toujours les grâces divines S'offrent à nous dans la douleur. Céleste fleur que Dieu fit naître Pour consoler l'humanité, Fils de Marie, humble et doux Maître, Enseigne-nous l'humilité ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} J'emporterai la plante admirable : Mon cœur en fut tout parfumé, Et dans mon logis misérable, Par elle tout fut transformé. Céleste fleur que Dieu fit naître Pour consoler l'humanité, Fils de Marie, humble et doux Maître Remplis-nous de ta charité ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Je la garde, elle est toujours belle, Et rien ne saura la flétrir, J'irai dans la tombe avec elle : Avec elle on ne peut mourir. Céleste fleur que Dieu fit naître Pour consoler l'humanité, Fils de Marie, humble et doux Maître, Tu donnes l'immortalité ! {end_of_verse}