{title:Ô Dieu dont la tendresse} {comment:Sur les ailes de la foi (155)} {comment:Ruben Saillens} {comment:Ahasvérus Fritsch} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Ô Dieu, dont la tendresse égale la puissance, Toi qui daignas veiller sur eux dès leur naissance, Regarde ces enfants devant toi prosternés, Te louer pour les biens que tu leur as donnés. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Pour le foyer paisible où tu les as fait naître, Pour le Livre qui leur apprit à te connaître, Pour le bonheur présent, pour le bonheur passé, Pour ton coeur, que jamais leurs fautes n'ont lassé. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Aujourd'hui, de ton ciel, demeure paternelle Où tu leur as promis une gloire éternelle, Daigne, tandis qu'ils sont à genoux devant toi, Les baptiser d'amour, d'espérance et de foi. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Ah ! que leurs faibles mains s'unissent dans la tienne, Que dans tous leurs combats ta grâce les soutienne, Et, qu'à travers les bons, comme les mauvais jours, Ce soit de ton regard qu'ils vivent toujours. {end_of_verse}