{title:Il est une verte colline} {comment:Sur les ailes de la foi (112)} {comment:Ruben Saillens} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Il est une verte colline, Qu'un jour, portant sa croix, Et le front couronné d'épines, Et le front couronné d'épines, Gravit le Roi des rois. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Ah ! qui dira quelle souffrance Il subit en ce lieu, Lorsque pour nous, amour immense ! Lorsque pour nous, amour immense ! Mourut le Fils de Dieu ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Pour que notre âme fût sauvée Et recueillie aux cieux, Il fallait qu'elle fut lavée, Il fallait qu'elle fut lavée Dans son sang précieux ! {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Nul autre ne lui fut semblable : Le juste et saint Agneau, Pouvait seul ouvrir au coupable, Pouvait seul ouvrir au coupable Les portes du tombeau. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Tendresse ! tendresse infinie ! En retour, Ô mon Roi ! Je veux t'aimer toute ma vie, Je veux t'aimer toute ma vie, Et pratiquer ta loi. {end_of_verse}