{title:Ô Seigneur, ô sauveur} {comment:Sur les ailes de la foi (059)} {comment:Alexandre Vinet} {comment:Johann Michael Haydn} {comment:©} {comment: Couplet} {start_of_verse} Ô Seigneur, ô Sauveur, que nos lèvres te louent, Mais qu'avec nos accents nos œuvres soient d'accord ! Si, par nos actions, nos cœurs te désavouent, Dans nos chants les plus beaux tout est vain, tout est mort. Dans nos chants les plus beaux tout est vain, tout est mort. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Tu naquis pour servir, et servir fut ta gloire ; Servir est à jamais le sceau de tes enfants. Qui fait peu t'aime peu ; qui se borne à te croire, Ne te croit point encor, ô Sauveur des croyants. Ne te croit point encor, ô Sauveur des croyants. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Mourut-il avec Christ au rocher du Calvaire, L'amour pieux et tendre, asile du malheur ? Non, l'amour y naquit, et dès lors sur la terre, Comme on cherche un trésor, il cherche la douleur. Comme on cherche un trésor, il cherche la douleur. {end_of_verse} {comment: Couplet} {start_of_verse} Que de maux, de périls et de besoins m'appellent ! Que de frères, d'amis, Dieu jette dans mes bras ! Que d'œuvres à fonder, que d'œuvres qui chancellent... Travaillons : le loisir n'appartient qu'aux ingrats. Travaillons : le loisir n'appartient qu'aux ingrats. {end_of_verse}